Tu avances
tout bas
tu es ce
piaf à l’affût
qui s’épuise
sans éclat
ta faim
de charognard
te consume
ton labeur
est collé
au désir
qui lacère
tes entrailles
tu feras
comme
les autres
jours
comme
les autres
jours
avec
ce que
ce que
tu n’as pas
tu hésiteras
longuement
avant de faire
le mauvais
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