" Être différent n'est ni une bonne ni une mauvaise chose. Cela signifie simplement que vous êtes suffisamment courageux pour être vous-même. "
"Les temps sont durs pour les rêveurs" mais shush shush, j'ai le cœur à l'affût et j'ouvre mon carnet de peau. « Soyez vous-même, tous les autres sont déjà pris. » Oscar Wilde
Platys Gialos, 1980
mercredi 30 décembre 2020
lundi 28 décembre 2020
vendredi 4 décembre 2020
jeudi 3 décembre 2020
vendredi 27 novembre 2020
jeudi 26 novembre 2020
Rester éblouie...
[Couplet 1 : Pomme]
Viendras-tu te reposer, sur mon épaule
Malgré tout le mal que j'ai fait
Je te propose
Une minute, enlacés
Dans le noir
Ou la lumière allumée
Tu décideras
[Couplet 2 : Pomme]
Voudras-tu me raconter tes heures sombres
Les hommes que tu as touché
La peur de ton ombre
Je pourrais te raconter
Mon Noël sans goût
Et quand le vide m'appelait
Le désir fou
D'une minute, enlacés
Dans le noir
Ou la lumière allumée
Tu décideras
Tu décideras (Tu décideras)
[Outro : Grand-mère de Pomme]
Claire, bonjour, c'est Mamie. Merci beaucoup pour ton message, je l'ai lu ce matin
Et puis j'espère que tout se passe bien, sur euh... que tu te prépares pour ton concert
J'crois que tu vas avoir ton album, enfin... je ne sais pas quelle date...
Et... bon courage, travaille bien, et bonne chance !
Bisous, je t'embrasse, bisous. Mamie. Au revoir !
Bonjour, c'est Mamie
Et puis j'espère que tout se passe bien
Je ne sais pas quelle date
Je ne sais pas quelle date
Travaille bien
C'est Mamie
J't'embrasse
Bisous
Au revoir
Claire, bonjour, c'est Mamie. Merci beaucoup pour ton message, je l'ai lu ce matin
Et puis j'espère que tout se passe bien, sur euh... que tu te prépares pour ton concert
J'crois que tu vas avoir ton album, enfin... je ne sais pas quelle date...
Et... bon courage, travaille bien, et bonne chance !
Bisous, je t'embrasse, bisous. Mamie. Au revoir !
Bonjour, c'est Mamie
Et puis j'espère que tout se passe bien
Je ne sais pas quelle date
Je ne sais pas quelle date
Travaille bien
C'est Mamie
J't'embrasse
Bisous
Au revoir
mercredi 25 novembre 2020
Shush, j'écoute "2019" de Pomme
"Bienvenue par ici
Ou les lois sont reines
Ou marcher m'est interdit
Si je tiens celui que j'aime
J'ai appris comment me taire
Comment manquer à l'appel
Et je fais tourner les verres avant l'aveu mortel
Je veux la liberté d'aimer et d'être qui je suis
Je cours, je pars réinventer ma vie loin d'ici
Effacer les moindres traces
De l'amour, de nous
J'ai peur quand on s'embrasse
Ou marcher m'est interdit
Si je tiens celui que j'aime
J'ai appris comment me taire
Comment manquer à l'appel
Et je fais tourner les verres avant l'aveu mortel
Je veux la liberté d'aimer et d'être qui je suis
Je cours, je pars réinventer ma vie loin d'ici
Effacer les moindres traces
De l'amour, de nous
J'ai peur quand on s'embrasse
Qu'ils nous brisent le cou
Il faut fuir nos propres terres
La maison et les vallées
Car la haine est incendiaire
On laissera les armoises brûlées
Je veux la liberté d'aimer et d'être qui je suis
Je cours, je pars réinventer ma vie loin d'ici
Même si je tremble, je n'ai pas peur
Si on se rassemble, je n'ai plus peur
Même si je tombe, je n'ai pas peur
Si le tonnerre gronde, je n'ai plus peur
Je veux la liberté d'aimer et d'être qui je suis
Je cours, je pars réinventer ma vie loin d'ici"
Il faut fuir nos propres terres
La maison et les vallées
Car la haine est incendiaire
On laissera les armoises brûlées
Je veux la liberté d'aimer et d'être qui je suis
Je cours, je pars réinventer ma vie loin d'ici
Même si je tremble, je n'ai pas peur
Si on se rassemble, je n'ai plus peur
Même si je tombe, je n'ai pas peur
Si le tonnerre gronde, je n'ai plus peur
Je veux la liberté d'aimer et d'être qui je suis
Je cours, je pars réinventer ma vie loin d'ici"
© Pomme
2019 par POMME
jeudi 19 novembre 2020
mercredi 18 novembre 2020
Cécile A. Holban
"Dans un monde gouverné par les oiseaux
Il est un arbre où l'on s'abandonne
à la saison des chutes" Vinca Alba Minor (Cécile A. Holban)
mardi 17 novembre 2020
Pourtant...
"Pourtant le monde entier le sait
chacun l’a éprouvé un jour ou l’autre
l’infinie puissance
d’un sourire"
chacun l’a éprouvé un jour ou l’autre
l’infinie puissance
d’un sourire"
lundi 16 novembre 2020
samedi 14 novembre 2020
Perché sur la branche du rien / Cécile A. Holban
PERCHÉ SUR LA BRANCHE DU RIEN
Le ciel est à sa place
il vole contre moi
étranger à lui-même
perché sur la branche du rien
je suis sa sentinelle
à la bascule du vide
dans mes pattes, les deux
extrémités de l'être
la graine dans le fruit
et l'étrangeté à vivre
la pulsation des ailes
dans le nid du néant
Le dernier leporello peinture et poème de Vinca Alba Minor (Cécile A. Holban), avec la participation du martin-pêcheur, du rouge-queue, du bouvreuil et du moineau. Aquarelles et poème manuscrit sur vélin d'arches.
vendredi 13 novembre 2020
Tu m'aimes-tu ?
Pour découvrir des extraits de "Tu m'aimes-tu ?" de Samantha Barendson (2019 - Ed Le chat polaire).
Va voir l'ami, c'est très beau.
jeudi 12 novembre 2020
vendredi 6 novembre 2020
dimanche 1 novembre 2020
jeudi 29 octobre 2020
Tapis de chiffons par Cécile A. Holdban
Le tapis de chiffons est une œuvre collective réalisée durant le confinement du printemps 2020, réunissant 173 vers d’ écrivains de France et du monde, écrits et peints par Cécile A. Holdban sur des sachets de thé et réunis en un patchwork. Une lecture et mise en images du Tapis de chiffons est à découvrir ici
vendredi 28 août 2020
Avis de sortie
Poésie assistance 24h/24 de Perrin Langda, aux Editions de La Boucherie Littéraire, dirigées par Antoine Gallardo.
mardi 7 juillet 2020
Shush... merveille !
Note de l'éditeur : "Le chant de la femme source est le quatrième numéro de la collection Grand ours publié par l’Ail des ours. C’est un été, un amour au bord d’une rivière, l’union de la nature et des sentiments. Un poème comme un souvenir vivant, un cœur battant. C’est une année, une incantation. Inlassable une femme appelle celui qu’elle n’a jamais oublié. Son homme par-delà le temps. Écoutez son chant sensuel et lumineux."
Extrait :
"C’était le temps
d’avant nous-mêmes
La terre nous aimait
Nous chevauchions
l’échine des ruisseaux
J’étais sourcière
Tu regardais bouger
mes robes de vapeur
pendant que je trempais
mes pieds dans l’eau
Les rives s’ensorcelaient
de nos enjambées de joie"
Estelle Fenzy, Le chant de la femme source, avec des œuvres de Colette Reydet, collection Grand ours n°4, Editions L’Ail des ours, juillet 2020.
Note de l'éditeur : "Le chant de la femme source est le quatrième numéro de la collection Grand ours publié par l’Ail des ours. C’est un été, un amour au bord d’une rivière, l’union de la nature et des sentiments. Un poème comme un souvenir vivant, un cœur battant. C’est une année, une incantation. Inlassable une femme appelle celui qu’elle n’a jamais oublié. Son homme par-delà le temps. Écoutez son chant sensuel et lumineux."
"C’était le temps
d’avant nous-mêmes
La terre nous aimait
Nous chevauchions
l’échine des ruisseaux
J’étais sourcière
Tu regardais bouger
mes robes de vapeur
pendant que je trempais
mes pieds dans l’eau
Les rives s’ensorcelaient
de nos enjambées de joie"
dimanche 17 mai 2020
Ce qui reste (pour Ferdinand)
C’est là où le silence
est trop lourd
que nous ferons escale
pour une année
sans promesse
Dans tes yeux délavés
l’un veille
l’autre se tait
à jamais
Tu me regardes
voudrais des initiatives
sembles attendre des questions
une ligne de conduite
une direction
Je ne connais rien de
cette destination
je ne sais suivre
que l’instant
à l’instinct
Je ne cherche pas
à connaître tes faits d’arme
tes secrets
le coulant de tes peines
Il y aura les
rendez-vous cadencés
l’espoir rond pour
se souvenir d’hier
Dans les gestes
il y aura le calva
toujours prêt
la cigarette
la parole
gorgée d’attente
pour raconter en creux
là où la vie était
Tu dis Parler, c’est tout ce qui me reste
tu dis que tu es prêt
que tu as dit tout ce que tu
avais à dire
Chaque rencontre
embrassera des rives inexplorées
apprivoisera nos flammes
nos sécheresses
Tu parleras d’amour
beaucoup
tout en défiant
le verbe ‘aimer’
Sous ta peau
court le monde
les pays, les océans traversés
Un pont de brindilles
allume des petits feux
pour montrer le chemin
Tes plus belles fiertés
se comptent sur les deux
doigts de ta main
Tes genoux ont cassé
la fatigue t’aspire
ton monde s’éloigne
En lisière
tu tentes
de te remémorer
Dans l’enfance dévorée
l’absence du père
comme on ferme les yeux
Les bouts de ton
cœur cassé
haussent le ton
clament le beau
Au bord du jour
tu n’oses pas crier
tu prônes le dialogue
la nécessité douce
Aucun orage
ne se dépose
sur ta bouche
Certains jours
sont des mers sans fonds
les jours notés sur le calendrier
des amarres
De quoi pourrais-tu
avoir envie, toi qui dis
avoir touché le plafond
et être prêt
Dans tes yeux
l’immensité gambade
l’humour saute à cloche pieds
Tu apprivoiseras un chat
il sera les minutes chaudes
pour étouffer l’ennui
Chaque fois ton sourire
s’arque pour dérouler le jour
le cœur comme un brasier
Au fond des trous de mémoire
se nichent des souvenirs épars
la parole s’organisera
pour rattraper cet enfoui
Tu demanderas
le tutoiement
pour éteindre la distance
Certains jours
nos paroles se frôlent
se perdent dans l’horizon
Je ne pourrai traduire
le ciel de tes yeux
au bord de mes fenêtres
Je les regarde
se taire
et déglutis
leur silence
Dans quelques jours
je partirai arpenter
les collines de mon monde
Vivre dans la présence
ou l’absence me sera aussi doux
pour habiter nos paysages
ou y emprisonner nos impossibles
Je me demande
qui sera là pour se souvenir
de l’éphémère de ce nous
et la couleur de cet éclat
Tu seras le bleu
la bonté imprimée
la danse avec Yvonne
sur la cime des souvenirs
où se balancent les rêves
Une porte en devenir
est trop lourd
que nous ferons escale
pour une année
sans promesse
l’un veille
l’autre se tait
à jamais
voudrais des initiatives
sembles attendre des questions
une ligne de conduite
une direction
cette destination
je ne sais suivre
que l’instant
à l’instinct
à connaître tes faits d’arme
tes secrets
le coulant de tes peines
rendez-vous cadencés
l’espoir rond pour
se souvenir d’hier
il y aura le calva
toujours prêt
la cigarette
la parole
gorgée d’attente
pour raconter en creux
là où la vie était
tu dis que tu es prêt
que tu as dit tout ce que tu
embrassera des rives inexplorées
apprivoisera nos flammes
nos sécheresses
beaucoup
tout en défiant
le verbe ‘aimer’
court le monde
les pays, les océans traversés
allume des petits feux
pour montrer le chemin
se comptent sur les deux
doigts de ta main
la fatigue t’aspire
ton monde s’éloigne
tu tentes
de te remémorer
l’absence du père
comme on ferme les yeux
cœur cassé
haussent le ton
clament le beau
tu n’oses pas crier
tu prônes le dialogue
la nécessité douce
ne se dépose
sur ta bouche
sont des mers sans fonds
les jours notés sur le calendrier
des amarres
avoir envie, toi qui dis
avoir touché le plafond
et être prêt
l’immensité gambade
l’humour saute à cloche pieds
il sera les minutes chaudes
pour étouffer l’ennui
s’arque pour dérouler le jour
le cœur comme un brasier
se nichent des souvenirs épars
la parole s’organisera
pour rattraper cet enfoui
le tutoiement
pour éteindre la distance
nos paroles se frôlent
se perdent dans l’horizon
le ciel de tes yeux
au bord de mes fenêtres
se taire
et déglutis
leur silence
je partirai arpenter
les collines de mon monde
Vivre dans la présence
ou l’absence me sera aussi doux
pour habiter nos paysages
ou y emprisonner nos impossibles
qui sera là pour se souvenir
de l’éphémère de ce nous
et la couleur de cet éclat
la bonté imprimée
la danse avec Yvonne
sur la cime des souvenirs
où se balancent les rêves
Texte paru dans le magazine KEPI BLANC de Mai 2020,
dans le cadre des "Rencontres racontées" organisées
mardi 21 avril 2020
Dans la traîne des jours
Tu regardes chaque matin sous la jupe du
temps pour relier les branches de ton histoire
Tu t’abreuves en laissant couler le mot avenir,
comme né de ta bouche, pour qu’il étire tes paysages
Certains souvenirs de famille feront
peut-être des ricochets, où s’entrelacent d’autres voix
Tes silences comme des cailloux concentrent
tes replis de moineau
Le manteau blanc de l’enfance masque le fracas
des fissures
Tu voudrais te glisser dans un livre comme
dans la peau d’un autre
Vivre libre, nue, respirer grand, dans
une fête aux éclats d’écume sans début ni fin
Sous tes pieds, ta part sauvage s’embrase
dans un berceau vibrant
Ton destin semble se dévêtir au-dedans
de toi, tout en te portant
Dans le bleu des souvenirs, le sel
dérobé du voyage construit les choses tues, pour attraper le temps.
Racines suspendues. Entrevues.
Comme son visage dans le tien.
Demain sera une belle musique.
Racines suspendues. Entrevues.
Comme son visage dans le tien.
Demain sera une belle musique.
Comme la
vie, là, juste devant.
mardi 7 avril 2020
SLAM DU FLOTTEMENT
Ça commence par un moment
de FLOTTE - MENT
quand le soleil RECULE
de FLOTTE - MENT
quand le soleil RECULE
J’ai pas l’habitude
de cet isolement
inédite SOLITUDE
de cet isolement
inédite SOLITUDE
Attention j’dis pas
qu’ça me coûte
qu’c’est laborieux
pénible ou RIDICULE
qu’ça me coûte
qu’c’est laborieux
pénible ou RIDICULE
J’ai juste jamais
appris à compter
sans jour ni PENDULE
appris à compter
sans jour ni PENDULE
J’sais bien qu’les gens
pendant l’confinement
font tout un tas d’DECOMPTE
pendant l’confinement
font tout un tas d’DECOMPTE
de c’qu’ils peuvent plus
dépenser, faire ou amasser
comme une insulte qui GRONDE
dépenser, faire ou amasser
comme une insulte qui GRONDE
font des grimaces éhontées
de tout ce qu’ils n’ont jamais
su dire ou DO-MES-TI-QUER
de tout ce qu’ils n’ont jamais
su dire ou DO-MES-TI-QUER
qu’ils établissent des tas
de listes de ce qui MANQUE
de ce qui est PERDU ou FANÉ
de listes de ce qui MANQUE
de ce qui est PERDU ou FANÉ
Du bord de ma fenêtre
c’est tout l’opposé
j’fais l’grand cumul
de tout c’que j’ENGRANGE
c’est tout l’opposé
j’fais l’grand cumul
de tout c’que j’ENGRANGE
Plus de plein d’essence
de sourires forcés
d’trajets INSENSÉS
de sourires forcés
d’trajets INSENSÉS
Mon quotidien se REMPLIT
de vide, d’éclats de PEU
d’heures invisibles
qui osent le PRÉCIEUX
de vide, d’éclats de PEU
d’heures invisibles
qui osent le PRÉCIEUX
de tout cet essentiel
ces souffles en vibration
ces jolies choses
qu’ j’faisais pas ASSEZ
ces souffles en vibration
ces jolies choses
qu’ j’faisais pas ASSEZ
J’vis la trêve générale
la pause imposée
comme un moment SACRÉ
la pause imposée
comme un moment SACRÉ
J’sais pas si un jour
j’pourrai continuer
le pantin que J’ÉTAIS
j’pourrai continuer
le pantin que J’ÉTAIS
Poursuivre l’AVIDE
d’avant l’seize mars
l’insignifiance de l’avant vide
d’l’« avant-COVID »
d’avant l’seize mars
l’insignifiance de l’avant vide
d’l’« avant-COVID »
J’sais pas si je pourrais reperdre
ce que j’ai jamais su gagner
des années PENCHÉES
ce que j’ai jamais su gagner
des années PENCHÉES
Sans m’abîmer, me mentir
m’imposer des figures
malhabiles ou DÉSAXÉES
m’imposer des figures
malhabiles ou DÉSAXÉES
J’veux m’répéter encore et encore
qu’tout ça peut CHANGER
sans guillemets ni r’mettre à trop tard
le changement ESQUISSÉ
qu’tout ça peut CHANGER
sans guillemets ni r’mettre à trop tard
le changement ESQUISSÉ
Qu’on tire enfin un trait
sur l’capitalisme EFFRÉNÉ
l’entre-soi qui offense
tous les DÉPLACÉS
sur l’capitalisme EFFRÉNÉ
l’entre-soi qui offense
tous les DÉPLACÉS
Que l’on défende
avec les poings
le vivant, l’éternelle FRAGILITÉ
avec les poings
le vivant, l’éternelle FRAGILITÉ
Que l’on réfléchisse à l’équilibre
qui prône le JUSTE
défend le LENT, le DOUX
qui prône le JUSTE
défend le LENT, le DOUX
Que la raison du plus faible
persiste et DURE
qu’on fasse la nique
aux peurs, à l’INJURE
persiste et DURE
qu’on fasse la nique
aux peurs, à l’INJURE
Qu’on remette de l’amour
et des sourires dans ce qui palpite
au sens propre sur ta FIGURE
et des sourires dans ce qui palpite
au sens propre sur ta FIGURE
Que chacun trouve sa PLACE
sans tiédeur ni compromis
que l’on montre aux ‘grands’ de ce MONDE
leur véritable FA(R)CE
sans tiédeur ni compromis
que l’on montre aux ‘grands’ de ce MONDE
leur véritable FA(R)CE
© Crédit photo Irène Layous
mercredi 1 avril 2020
jeudi 26 mars 2020
mercredi 25 mars 2020
Dans une dispersion de vent
(…)
Fusillée
sur l’instant
Cœur troué
Je m’éclipse
dans un souffle
***
Une connivence lointaine
glisse sur nos peaux
- nous dilue
Dans l’écho fraternel
l’obscur veille pour
protéger l’aube à naître
***
J’écoute l'appel
d'un paysage fragmenté
d’un mirage infini
La beauté
d’un geste de craie
l’ombre d’une brindille
D’un fragile
Qui résiste
(…)
Pour Jérôme Pergolesi, en écho à Liona.
Pour Jérôme Pergolesi, en écho à Liona.
Liona - 50x70 cm - Tirage 2/5 - 2019
Les créations de Jérôme Pergolesi sont visibles par ici.
mardi 24 mars 2020
mercredi 18 mars 2020
"Quand mon cœur" de Mélanie Leblanc
"Quand mon cœur", le dernier livre-objet de Mélanie Leblanc
paru aux merveilleuses Editions Les Venterniers le 9 mars dernier.
Des cartes-poèmes pour approcher le mystère
des différents mouvements du cœur. Disponible juste là.
mardi 17 mars 2020
Guillaume Siaudeau
"Faut pas stresser
comme ça hein
on aura quand-même
le droit de continuer
à se toucher
avec des mots"
lundi 16 mars 2020
dimanche 15 mars 2020
Jean-Pierre Siméon
"L'émotion poétique est de l'ordre des révélations intimes, fragiles, précaires et toujours recommencées..."
Jean-Pierre Siméon
vendredi 13 mars 2020
vendredi 6 mars 2020
PARCE QUE (E)mouvante version par Léo Walk
Par les feuillages on effleure
ce château abandonné
on y pénètre en marche arrière
d'un regard introspectif
mi-voleur, mi-voyeur
ici, tout fascine
tout est parfait
la mélancolie prend aux tripes
la danse se mêle au phrasé
lancinant, mon cœur
tangue et coulerait
presque de découvrir
si tard ce titre
sublimé par
Gainsbourg
et Léo Walk
"Parce que" interprétée par Serge Gainsbourg. Ou quand le génie de Gainsbourg dépasse la version originale de Charles Aznavour.
lundi 2 mars 2020
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