Platys Gialos, 1980

Platys Gialos, 1980
Charlotte Mont-Reynaud, Platys Gialos, Mykonos 1978

vendredi 20 septembre 2024

𝑀𝑎 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑓𝑖𝑙 #17

 


Ma fille est un fil
la ligne rouge
de tout ce qu’il reste à franchir
©Charlotte Mont-Reynaud

Extrait d’un projet en cours - dont la forme définitive se cherche encore - mêlant photos, mots & fils (photo poésie, livre pauvre encre, fil & papier)
{Ma fille est un fil 17}

jeudi 1 août 2024

Je m'appelle M

 

Cet audio est à découvrir sur ma page Instragram ou ma page Facebook.

Pour le faire, j'ai utilisé les logiciels : Canva / Convertio /Headliner.

Depuis février que je veux poster ça (!!), mais souci technique ou plutôt manque de compétences pour les fichiers audio de + d'1mn. Ce texte dure 2'30".
𝐌𝐮𝐬𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐘𝐚𝐧𝐧 𝐓𝐡𝐢𝐞𝐫𝐬𝐞𝐧 "𝐌𝐨𝐭𝐡𝐞𝐫'𝐬 𝐝𝐚𝐲" (mais j'ai un doute...).
Cette fois-ci, le texte est complet et non coupé à 59 secondes. Bonne écoute
@charlotte_montreynaud

mercredi 13 mars 2024

𝐃𝐞́𝐭𝐨𝐮𝐫𝐧𝐞(𝐦𝐞𝐧𝐭) #𝟏𝟎𝟖

 


Suite de ma série « détourne(ment) », entamée en 2015 sur ce blog « Là où je suis née ».

Je mets en lumière ce détourne(ment) en réponse direct au Détourne(ment)#107 d’hier (soigner/soi-nier), et l’emprunte également au livre 𝑳𝒆 𝒈𝒖𝒆́𝒓𝒊𝒔𝒔𝒆𝒖𝒓 𝒅𝒆 𝒍’𝒊𝒏𝒄𝒐𝒏𝒔𝒄𝒊𝒆𝒏𝒕 𝑵𝒐𝒎𝒆𝒏 𝑨𝒏𝒊𝒎𝒂𝒆 de Jean-Michel Zammit.
Guérir va plus loin que le fait de se soigner, guérir a pour but de cesser la lutte intime, la guerre intérieure épuisante. Cela consiste à atteindre la source de la souffrance pour la dissoudre.

« Tandis que guérir permet de mener le double combat contre soi-même, « guerre-ire » éradique la souffrance qui habite le corps et dissout la colère des profondeurs, celle qui nous a été transmise. C’est une guerre totale et sans concessions contre l’ennemi de l’intérieur, qui part de ce qui est visible pour accéder à l’origine invisible du problème et ainsi recouvrer la santé.
En langue des oiseaux, la lettre T désigne l’enfermement de l’Homme, sa limitation et son incapacité à s’élever vers son essence divine. Donc, celui qui retrouve son état originel de « sans T » récupère son intégrité parfaite. »
Extrait du livre 𝑳𝒆 𝒈𝒖𝒆́𝒓𝒊𝒔𝒔𝒆𝒖𝒓 𝒅𝒆 𝒍’𝒊𝒏𝒄𝒐𝒏𝒔𝒄𝒊𝒆𝒏𝒕 𝑵𝒐𝒎𝒆𝒏 𝑨𝒏𝒊𝒎𝒂𝒆 de Jean-Michel Zammit (p 424).

mardi 12 mars 2024

𝐃𝐞́𝐭𝐨𝐮𝐫𝐧𝐞(𝐦𝐞𝐧𝐭) #𝟏𝟎𝟕

 

𝐃𝐞́𝐭𝐨𝐮𝐫𝐧𝐞(𝐦𝐞𝐧𝐭) #𝟏𝟎𝟕
Je reprends ma série « détourne(ment) » laissée en jachère depuis août 2023, entamée en 2015 sur ce blog « Là où je suis née ».
Je mets en lumière visuellement ce détournement, emprunté au livre 𝑳𝒆 𝒈𝒖𝒆́𝒓𝒊𝒔𝒔𝒆𝒖𝒓 𝒅𝒆 𝒍’𝒊𝒏𝒄𝒐𝒏𝒔𝒄𝒊𝒆𝒏𝒕 𝑵𝒐𝒎𝒆𝒏 𝑨𝒏𝒊𝒎𝒂𝒆 de Jean-Michel Zammit
Lecture ô combien éclairante et forte de résonnances, comme si l’auteur - Jean-Michel Zammit est enseignant auprès d’enfants porteurs de troubles des apprentissages et formé au décodage biologique des maladies- mettait des mots sur tous mes maux (dont ceux de mes ancêtres, lignée mater & pater). Comme si ce livre - qui est bien plus qu'un simple livre - avait été écrit pour moi (je le dis sans prétention aucune, dans le plus grand dénuement).
Après avoir lu « Aïe mes aieux », « Comment paye-t-on les fautes de ses ancêtres » de Nina Canault, « Secrets de famille mode d’emploi » de Serge Tisseron, « Les fantômes familiaux » de Bruno Clavier, « Votre corps a une mémoire » (Marabout); « Les constellations familiales » de Joy Manné et tant d’autres (sur l’inconscient, le chamanisme... - il serait trop long de tout lister) lus depuis plus de 20 ans.
Le chemin de réparation et de libération est long, douloureux.
Mon corps a besoin d’une pause, je l’écoute. Je me sens à un carrefour. Un point de bascule, proche de dénouement. Et de la lumière.
[Soigner c’est « nier le soi », c’est masquer ce que le « mal a dit ». Contrairement au « Soi niant » qui n’est jamais malade, le « Soi nié » l’est toujours. Le symptôme est le langage par lequel la maladie prend le pouvoir sur le « Saint Homme ». Soigner revient alors à traiter le problème en surface.]
Ce détourne(ment) me fait penser à la merveilleuse Nicole Riviere qui m'a accompagnée sur le chemin de la psycho-généalogie en 2015, à Stéphanie Kaczmareck et à son formidable accompagnement pendant ma sévère dépression de 2015/2016. Je pense également à Fabian Airamid. Je pense à toute la poésie qui me tient chaud et me permet de voir la vie autrement, plus grand.
Il y en a tant d'autres...
Je les remercierai tous un jour d'une manière ou d'une autre.
Qu'importe, ils sont là, bien au chaud dans mon cœur et de mon infinie re(co)-(n)naissance.
Pour l'heure, je prends soin de moi et poursuis mon chemin.
Et vous, accueillez-vous votre « soi » et ce que vous dit votre petite voix ?