Coupe floue des lendemains qui dérangent
Le creux des cernes laisse deviner la rude nuit
Morne allure d'une fille qui ne s'habille plus
Réveil brutal d'un songe, défiguré par les larmes
Ma seconde peau, rouge de rage, dehors jure
La vérité nue qui s'énonce embrase, dénonce tout
Douleur chevillée au corps, est-ce le début ou la fin
Ma seconde peau, rouge de rage, dehors jure
Mes certitudes infantiles ancrées détonnaient
Reste un terrain vague et ces femmes qui montrent la voie
Ma seconde peau, rouge de rage, dehors jure
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