Platys Gialos, 1980

Platys Gialos, 1980
Charlotte Mont-Reynaud, Platys Gialos, Mykonos 1978

mercredi 13 mars 2024

𝐃𝐞́𝐭𝐨𝐮𝐫𝐧𝐞(𝐦𝐞𝐧𝐭) #𝟏𝟎𝟖

 


Suite de ma série « détourne(ment) », entamée en 2015 sur ce blog « Là où je suis née ».

Je mets en lumière ce détourne(ment) en réponse direct au Détourne(ment)#107 d’hier (soigner/soi-nier), et l’emprunte également au livre 𝑳𝒆 𝒈𝒖𝒆́𝒓𝒊𝒔𝒔𝒆𝒖𝒓 𝒅𝒆 𝒍’𝒊𝒏𝒄𝒐𝒏𝒔𝒄𝒊𝒆𝒏𝒕 𝑵𝒐𝒎𝒆𝒏 𝑨𝒏𝒊𝒎𝒂𝒆 de Jean-Michel Zammit.
Guérir va plus loin que le fait de se soigner, guérir a pour but de cesser la lutte intime, la guerre intérieure épuisante. Cela consiste à atteindre la source de la souffrance pour la dissoudre.

« Tandis que guérir permet de mener le double combat contre soi-même, « guerre-ire » éradique la souffrance qui habite le corps et dissout la colère des profondeurs, celle qui nous a été transmise. C’est une guerre totale et sans concessions contre l’ennemi de l’intérieur, qui part de ce qui est visible pour accéder à l’origine invisible du problème et ainsi recouvrer la santé.
En langue des oiseaux, la lettre T désigne l’enfermement de l’Homme, sa limitation et son incapacité à s’élever vers son essence divine. Donc, celui qui retrouve son état originel de « sans T » récupère son intégrité parfaite. »
Extrait du livre 𝑳𝒆 𝒈𝒖𝒆́𝒓𝒊𝒔𝒔𝒆𝒖𝒓 𝒅𝒆 𝒍’𝒊𝒏𝒄𝒐𝒏𝒔𝒄𝒊𝒆𝒏𝒕 𝑵𝒐𝒎𝒆𝒏 𝑨𝒏𝒊𝒎𝒂𝒆 de Jean-Michel Zammit (p 424).

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