Soir d’octobre
le silence
se fait nuit
Ton regard
fait danser
la lumière
Tes paroles
mûrissent
à feu doux
S'implantent
sur le seuil
de ta bouche
L’instant
traîne
en échos
ébahis
Vertige
des mots montagnes
où mes balbutiements
se noient
Tu renverses
et reboises
l’orée intime
de nos liens
Tu déplies
mes attentes
sur l'amorti
de pe(a)u
Tu étires
les coutures
des crêtes
de l'envie
Tu laisses
pousser
les jours
sans
promesse
ni plan
Et
pourtant
(...)
Et pourtant tout est dit, tout édite.
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